Dominant De Nature

Retrouvaille

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Ils avaient tous deux décidé de se retrouver à Paris, quelques jours, pour se montrer leur Amour, l’amour qu’ aucun éloignement ne peut entacher ni réduire….. Il voyageait beaucoup à travers le monde mais chaque fois qu’elle pensait à lui, elle devenait une autre, une femme dévergondée dans ses songes les plus hards, elle était en transe, mouillée au moindre mot, dégoulinant de cette liqueur exquise qu’elle dégustait en pensant à lui.
Il devait arriver par avion et elle décida de lui faire une surprise. Elle savait qu’elle serait punie pour cela ce qui faisait monter une chaleur torride au creux de son ventre. Un trouble, ce trouble exquis.
Elle commença à se préparer, la punition devant être à la hauteur de la surprise. Elle se regarda et ce qu’elle vit était ce qui avait plu à cet homme encore inconnu, lors de leur première rencontre.
Une très belle grande blonde, élégante, BCBG, avec des allures de mannequin, perchée sur de très hauts talons, sa robe de cocktail découvrant son dos jusqu’à apercevoir le début de ses fesses, des seins aux tétons qui pointaient.
Elle continua son inspection, les fesses aux globes amenant le désir, la forme de son sexe et de son mont de Vénus, qui était resté celui d’une très jeune fille, un petit abricot, nu et disponible….. Elle ne put s’empêcher de s’ouvrir, en ayant pris le soin de placer un miroir entre ses cuisses.
Elle écarta les jambes au maximum et, telle une chambre d’amour, elle vit son clitoris, ses grandes lèvres et surtout elle écarta encore plus les jambes et se baissa pour apercevoir cet anneau rose. Au seul regard, elle ne put s’empêcher de caresser son clitoris ce qui déclencha immédiatement un orgasme très intense, sa liqueur coulait sur ses cuisses nues, sa rose se dilatait, et en imaginant la punition elle ne pu retenir un nouvel orgasme, la liqueur chaude coulait et en pensant à lui, ses doigts s’en imprégnèrent et elle s’en délecta.

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Mais il se faisait tard et, fébrile, sans prendre de douche, elle voulait qu’il s’aperçoive de son excitation, elle s’habilla. Elle avait emprunté un uniforme d’hôtesse de l’air à l’une de ses amies, pour le surprendre dès sa sortie de l’avion, au carré VIP de l’aéroport. Quelques éléments avaient été modifiés et elle testerait cela dans le taxi
Elle monta dans la voiture, la jupe très courte et très serrée, les talons hauts et les bas suspendus au porte jarretelle, l’empêchant de ne pas montrer son intimité au chauffeur. Elle portait, sous la veste d’uniforme, un chemisier transparent, blanc, qui laissait entrevoir ses seins de déesse.
Elle arriva à l’aéroport et se dirigea, mouillée, ses sens en folie, vers le salon d’arrivée. Sur ses talons, et avec cette démarche dont émanaient sensualité, arrogance et attirance de tous les hommes présents, elle se positionna et l’attendit. Enfin, le voici se dit elle ….. Elle se rapprocha et l’embrassa goulûment, elle voulait être prise, maintenant, ici, devant tous

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mais ce n’était qu’un rêve.
Elle mit ses bras autour de son cou et ouvrit sa veste. Sa jupe remontait et ses seins apparaissaient ainsi que sa croupe offerte. Elle se pencha pour prendre son sac et tous purent remarquer le scintillement au milieu de ses fesses. Elle lui murmura, « prends moi », « je suis à toi »
Sa seule réponse fut de lui enlever sa veste et de la tirer vers la zone taxis. Ils se trouvaient dans la file d’attente et nombreux étaient ceux qui se rapprochaient. Mais il sentait son excitation et savait qu’elle avait désobéi. Dès qu’ils furent dans le taxi, il prit le bandeau des « grands voyageurs » et lui mit sur les yeux.
Il lui ordonna d’écarter les jambes et put voir ce liquide chaud qui s’échappait de son sexe.
Il lui ordonna de se masturber et en même temps, lui mit les doigts dans ce temple béni des dieux. A la première pénétration, elle poussa un cri de jouissance extrême. Nouvelle désobéissance et sentence immédiate « retourne toi et montre » Ce qu’elle fit immédiatement, la tête dans les coussins et les fesses ouvertes « encore » « tu ne montres rien » »ouvre toi »
Elle obéit et écarta, avec ses mains, ses belles fesses. « tu as désobéi, tu seras punie, pour le moment, reste dans cette position et caresse toi, sans aucun bruit » « tu vas me sucer en même temps » « si je jouis, ta punition sera encore plus terrible »
Ils arrivèrent en bas de chez elle, et, avant de sortir du taxi, il lui enleva sa jupe et ouvrit son chemisier, il ne lui restait que ses bas et ses talons. « descends et attends devant le porche » Ils entrèrent, elle ne savait pas combien de personnes de son quartier l’avaient vue ….
Il lui dit de se retourner et lui enleva sans ménagement, le joli plug qui brillait. A sa place, il lui introduisit quelques doigts ; elle n'en pouvait plus, elle cria de bonheur …. « très bien, tu vas apprendre à obéir »
Ils arrivèrent chez elle et immédiatement, il la mit à quatre pattes, lui mit son collier. Elle avait préparé une table avec ce qu’il lui avait ordonné et immédiatement, il prit les entraves des mains et des pieds et les serra autour de ses membres. « ne bouge pas » ; il vérifia tous ses orifices. « ton vagin dégouline de ta liqueur » « tu as osé me défier, lève toi » il l’attacha bras dans le dos et la conduisit à la salle de bain.
Il mit des gants et vérifia sa rose, « bien, bien, mais tu y as introduit un objet …. » Elle sentit alors une coulée de gel partant du bas de son dos jusqu’à sa rose, et d’un seul coup, il lui mit un fil de billes de bonnes grosseurs « si tu en perds une, …… » « puis la retourna, lui fit écarter les jambes et l’inonda d’eau très froide, elle en frissonnait de délice, son clitoris était en feu …… « ne bouge pas » Elle ne savait que penser…… C’est alors qu’elle senti la morsure de petites pinces sur ses grandes lèvres, son clitoris emprisonné dans quelque chose qu’elle ne connaissait pas ……
Il lui mit sa laisse et lui ordonna de le suivre à quatre pattes, les pinces métalliques faisaient un bruit qui l’excitait encore plus ….. Il s’assit dans le canapé et lui prit la tête, lui mettant son énorme sexe dans la bouche, tirant sur le fil qui se balançait entre ses jambes ….. Elle ne pouvait hurler de plaisir, il lui ordonna une gorge profonde et pas une seule goutte de semence perdue …..
Il mit du temps, jouant avec ses pinces, les billes et ne se déversant pas, il la retourna. Elle dut attendre ; lui, jouant toujours avec son clitoris emprisonné, des doigts dans son vagin et retirant bille par bille ce qui emprisonnait sa rose.

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Elle criait de jouissance et elle ne devait pas ….. Il lui introduisit alors un gode dans le vagin et reprit du gel….. Il ordonna qu’elle écarte ses fesses au maximum et introduisit du gel dans sa petite rose.
Et après l’avoir dilatée aux doigts, très vite, il la pénétra sans ménagement….. La douleur faisait place au plaisir……..

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