Dominant De Nature

Charlotte

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Charlotte, était une jeune femme de moins de 30 ans que je croisais de temps en temps sur les groupes de Facebook. Je connaissais beaucoup de ses amis virtuellement, et certains en vrai, pour le meilleur et le pire. Je savais qu’elle avait un intérêt pour moi plus qu’amical selon les dires d’une amie. Donc, un beau jour, je pris contact avec elle par messagerie en lui faisant comprendre que je savais ce qu’elle pensait de moi. Elle ne fut pas vraiment surprise et nous décidions d’échanger nos numéros de téléphone afin de deviser sur le sujet.
Le lendemain, nous nous parlions. Je savais qu’elle connaissait le monde du Bdsm au moins virtuellement mais je voulais connaitre sa motivation réelle, pourquoi moi et pas un autre. Aussi, gravitait dans son petit monde virtuel, des personnes que j’estimais néfastes et qu’elle devait faire le choix de s’en séparer si elle voulait aller plus loin avec moi car absolument incompatible avec ma philosophie. Mon recul par rapport à ma relation précédente était récent, et je ne voulais pas, à travers des publications de toutes sortes, blesser davantage certaines personnes. Après l’échange téléphonique, je connaissais un peu sa vie, son vécu, sa recherche, ses envies du moment. Elle m’avait expliqué avoir rencontré un Maître avec sa soumise et d’avoir rencontré un Maître qui n’avait pas grand-chose à voir avec cette qualité. Pour simplifier, son expérience de ce côté-là deux séances de baises sans grand intérêt. A son âge, elle avait un peu profité de la vie, rien de vraiment rédhibitoire pour moi. De mon côté, je lui expliquais mes exigences : l’exclusivité, le virtuel quelques semaines le temps de se connaitre, mais pas plus, mes pratiques envisageables, mes souhaits et mes limites infranchissables. En attendant notre rencontre, je lui proposais un mode de fonctionnement entre nous, basé sur des devoirs. Elle accepta ces bases sans problème, et pour moi, c’était aussi une bonne façon d’évaluer sa réelle motivation. Les jours passèrent et je découvris petit à petit sa personne, jeune femme simple, agréable, appréciant notre relation. Mes consignes étaient respectées, je recevais ses devoirs régulièrement, elle se préparait à notre rencontre et nous avions décidé de nous rencontrer quelques semaines plus tard pour passer un week-end ensemble sur Paris pour son initiation et son passage de collier. Pour notre première rencontre, mes consignes étaient claires, elle devait se rendre dans la chambre d’un palace que je j’avais réservé, se préparer et pour 18h30 m’attendre les yeux bandés en position d’attente de soumise habillée de bas uniquement, ses poignets et ses chevilles ornés des liens en cuirs et sur le lit. Ma cravache devait être posée devant elle ainsi que quelques objets, comme des boules de geisha et des pinces japonaises. Après une âpre négociation, elle pouvait garder un string.

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A l’heure précise, je recevais un sms me précisant qu’elle était prête. Je fis le vide dans ma tête et arrivé devant la porte de la chambre, je me concentrais. Même si je pouvais m’appuyer sur quelques années de pratiques, je me sens toujours comme un novice la première fois que je rencontre une Soumise. On peut croire connaitre une personne en dialoguant avec elle, recevoir ses photos et devoirs, mais il y a une sensation irremplaçable d’être au contact de la personne. Aussi, je me mets à la place de la Soumise, du degré de confiance qu’elle doit posséder consciemment pour se soumettre à un homme qu’elle n’a jamais vue. Pratiquant le libertinage, je sais bien que les trois quarts des femmes avec qui j’ai eu une relation sexuelle ne connaissaient même pas mon prénom, alors que j’étais en elles d’une manière ou d’une autre, ou bien sur une piste de danse, échanger des baisers avec une femme que je venais tout juste d’inviter à danser. Mais dans toutes ces situations, il y avait une sorte d’égalité dans la prise de risque et un environnement rassurant par la présence de tierces personnes. Mais à ce moment précis, je rentrais dans une chambre, pas de témoins et elle était entre mes mains… Aussi, je ne suis pas « Dexter », et si une mauvaise réputation me suivait parfois (où toujours), le bon sens montrait qu’elle était véhiculée par des femmes à qui j’ai dit peut-être trop longtemps non ou des hommes jaloux.
J’ouvris la porte de la chambre et pénétrais dans le couloir longeant la salle de bain. J’arrivais devant le lit, Charlotte avait parfaitement respecté les consignes, dans la bonne position bien droite, le silence régnait, et aux petit mouvements visibles de ses lèvres, je percevais une sorte de gêne, mais rien de trop stressant. Je lui dis : « Bonjour Charlotte, jolie présentation ! », elle me répondit : « Merci, bonjour Maître ! ». Je fus surpris par son physique ; je lui aurais donné à peine 18 ans. Je passais vite fait par la salle de bain pour me laver les mains et revint devant le lit, prenant au passage ma cravache posée devant elle. Elle restait immobile, une sorte de fierté de bien faire les choses. Je caressais de l’extrémité de mon outil préféré, son visage, ses épaules, sa poitrine, ses cuisses et lui dis : « Alors, tu voulais garder ton string ? ». Elle me répondit : « Oui, Maître ! ». Je lui ordonnais de basculer vers l’avant, ce qu’elle fit rapidement, et j’en profitais pour continuer de caresser son dos et ses fesses, toujours avec l’extrémité de la cravache. Je la sentais se détendre un peu et se prendre au jeu de la situation. « Crois-tu que garder ton string est justifié ? » lui dis-je en lui administrant un petit coup de cravache sur son postérieur. Elle fut un peu surprise par mon geste, et me répondit doucement : « Non, Maître ! Vous voulez que je le retire ? ». Je posais mon instrument devant elle, et commença de ma main à lui caresser les fesses puis glissa ma main sous le petit triangle de tissu et lui dis : « Je vérifie que toutes les consignes ont été bien respectées : ton épilation ». Par la même occasion, je savais qu’elle était bien excitée. Je lui fis reprendre sa position initiale et commença à jouer avec ses tétons. « Tu connais les pinces ? » lui dis-je, par la négative elle me répondit, je poursuivis en lui disant : « Tu vas connaitre… ». Je prenais une première pince et la plaça délicatement sur son téton gauche. Tout en relâchant doucement la pression de mes doigts, je surveillais sa réaction, sa bouche se crispait légèrement et ses épaules basculaient simultanément vers l’avant. Je venais de lâcher la première pince, je pris la seconde puis la plaça minutieusement sur son téton droit et de la même manière, je relâchais la pression progressivement. Charlotte avait la mâchoire serrée mais se maitrisait parfaitement. Après quelques secondes, je tirais lentement les petites cordelettes des pinces pour lui montrer l’effet produit : le serrage progressif des pinces sur ses tétons. Cette première phase produisait beaucoup d’effet sur elle… Après quelques secondes, je lui proposais de lui retirer les deux petits objets qui la pinçait, elle accepta poliment mon offre, rapidement et simultanément, je fis disparaitre la pression de ces deux petites pinces. Je savais très bien l’effet que cela produirait, un petit cri sortait de sa bouche. Je la pris par la main pour la faire se dresser devant moi et lui demandais de retirer son string ce qu’elle fit très vite. Malgré son bandeau sur les yeux, son sourire était revenu.

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Je me plaçais derrière elle pour attacher son collier. Je lui retirais son bandeau et elle me fit un grand sourire puis m’embrassa. Je retirais mes chaussures et m’allongea sur le lit. Elle vint me rejoindre et se blottit contre moi, la tête sur mon épaule. Je la caressais doucement et sans un mot se laissait faire et commença à m’embrasser, sans laisser de doute sur ce qu’elle voulait faire de suite. Je lui expliquais que si elle voulait se servir, j’en serai très heureux, mais que ce soir il y avait une suite. Elle commença par ouvrir ma chemise, puis défaire mon pantalon, d’un petit geste anodin mais calculé, vérifia mon état. Elle me regarda, et me prévint : « Je vais vous sucer Maître, mais vous ne finissez pas dans ma bouche ! » en rajoutant « Personne ne l’a jamais fait ! Et je ne veux pas ! ». N’ayant pas envie de la brusquer, je la laissais faire et elle fit répandre ma semence sur mon torse. Elle vint se blottir de nouveau contre moi avec un grand sourire, en me demandant si elle avait bien fait. Je répondis que oui. Elle se dressa puis posa son index dans une petite flaque nacrée sur mon torse. Elle porta son index à la bouche afin de goûter… En me regardant elle me dit : « C’est la première fois ! ». Je la fixais du regard souriant, en lui disant : « Il va y avoir, plusieurs premières fois ce week-end ! ».

Nous sortions du restaurant et rentrions à l’hôtel pour nous préparer, pour sortir. L’après-midi ayant été consacrée à une petite prise en main de ma part, la soirée, devait lui faire découvrir le vrai univers Bdsm. Un univers de vraies personnes, et non de mégalos mytho du microcosme fantasmé Facebookien, dont elle connaissait certains énergumènes caricaturaux. Douches prises, je lui demandais de s’habiller pour la circonstance : simplement une robe, des bas, et ses petits talons. Petit maquillage de circonstance de rigueur. Elle sortit de la salle de bain parfaitement apprêtée pour notre virée. Nous traversions Paris en taxi, pour rejoindre le club de Pascal, et j’en profitais pour lui présenter les différents monuments illuminés croisés sur notre route. Je demandais au chauffeur de nous déposer à une cinquantaine de mètres de l’entrée du club, le temps de fumer une cigarette, et de parler un peu, avant de rentrer dans le chaudron. Je voulais savoir ce qu’elle pensait d’une relation avec une femme. Elle me répondit : « J’ai essayé une fois avec le couple Maître soumise, que j’ai rencontré, et elle n’avait vraiment pas bon gout ». Au moins, comme ça, j’étais fixé sur ce sujet, je ne sais pas pourquoi, mais je me rappelais de la phrase de Barbara, dans un contexte semblable : « Si tu me fais bouffer une chatte, je t’en voudrais !»… Arrivée devant la porte, je sonnais, et une dame nous fit entrer. La personne me regarda, et me demanda visiblement gênée, si Charlotte pouvait présenter sa pièce d’identité. Elle sortit sa carte d’identité et la présenta, et me dit « J’ai l’habitude, je ne fais pas mon âge ». Une fois nos vestes déposées au vestiaire, nous descendions le petit escalier de pierre taillées menant au bar. Pascal vint me faire la bise et je lui présentais Charlotte, que le présentais moi-même comme le Maître des lieux, et personnage incontournable du monde bdsm. Il y avait un peu de monde, et les regards se croisèrent. Pour être honnête, j’étais un peu gêné, car en compagnie de ma Soumise, qui pouvait passer pour mineure, je faisais un peu tache d’huile. Pascal disparut en direction du vestiaire, et avec le recul, je suis persuadé qu’il était parti pour demander à l’hôtesse d’accueil si elle avait bien vérifié l’âge de ma compagne…

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Charlotte était sereine, et ce club un peu décalé avait l’air de lui plaire. Je voulais lui faire visiter les lieux, et elle m’accompagna dans ce petit labyrinthe sur deux niveaux, rien n’avait vraiment changé sauf une roue verticale installée contre un mur, qui me donnait des idées pour plus tard. Il ne devait pas être très tard, car les petits salons étaient bien calmes, nous croisions des personnes comme nous faisions un tour des lieux. Elle regardait les différentes attractions proposées mais ne faisait pas beaucoup de commentaires. De retour au salon, nous nous installions à une table et commandions nos boissons. Les hôtes de la soirée continuaient d’arriver, et au comportement du Maître des lieux, je devinais des habitués. Je priai Charlotte de s’approcher de moi afin de lui poser son collier, Pascal vit la scène en vint vers nous en faisant des compliments, sur la symbolique du port du collier, tout en nous servant. Comme d’habitude, l’ambiance était feutrée et les clients parlaient à voix basse. Quand je sortais dans ce genre de club, je m’amusais à penser, de rencontrer des personnes de ma vie professionnelle, voire de ma famille, ou plus probablement des connaissances du monde de la nuit. Parfois, il m’arrivait de rencontrer des personnalités connues, acteurs, chanteurs, journalistes, collègues dans les clubs, mais jamais chez Cris et Chuchotements. Je discutais un peu avec Charlotte, et petit à petit la soirée s’anima, des couples se levèrent et quittèrent le salon bar pour les différentes alcôves et pièces. Je ne tardais pas à proposer à ma compagne de suivre le mouvement. Différentes pièces et alcôves présentaient différentes scènes devant nous avec son lot de voyeurs et voyeuses plus ou moins envieux. Les regards se croisaient, les personnes se frôlaient volontairement ou non, le tout sous le regard rempli de curiosité de Charlotte. Certaines scènes étaient muettes, et les spectateurs respectaient le silence, plus loin des scènes étaient plus animées, avec des coups de fouets ou de martinets, des soumis et soumises étaient punis, humiliés publiquement pour le plaisir partagé de tous. La pièce meublée d’une table gynécologique était le théâtre d’un petit gang bang dans la pénombre. Je pris ma soumise par la main et lui proposa de me suivre dans une pièce voisine. Sans un mot, je lui désignais la roue : « Je vais t’y attacher » lui dis-je. La guidant par les épaules, je la fis se placer, et la sangla par les chevilles, les poignets et la taille. Elle était immobilisée verticalement sur la roue ses membres en croix. Des hôtes voulaient regarder notre petit show, la pièce se remplissait, et un autre couple s’installa sur la croix de Saint André voisine. Je relevais la robe de Charlotte sur la taille, et commençait, à la caresser lentement. Toutes les différentes scènes auxquelles elle avait assisté, l’avait sérieusement excité, mes doigts en témoignaient. Ma bouche se collait contre la sienne, et nos langues se trouvèrent, sans vouloir se quitter. Je pris un peu de recul, et décidais de déverrouiller le mécanisme de blocage de la roue afin de la faire tourner. Je fis tourner très lentement l’objet et discrètement, d’un regard qui ne trompe pas elle me demanda d’arrêter car elle allait être malade. Je bloquais la roue dans sa position initiale, l’embrassa, et la libéra de son attraction. Elle descendit visiblement soulagée, et m’expliqua discrètement qu’elle avait l’estomac fragile, et que de se retrouver la tête en bas et les pieds en l’air aurait terminé la soirée pour sûr. Lui laissant le temps de souffler, je lui dis : « Retire ta robe ! ». Elle me regarda intriguée, et le fit. Je pris la robe et la posa en écharpe autour de mon cou, et lui dit : « De toute façon avec ton collier, tu es suffisamment habillée ». Je la pris par la main et l’entraina doucement dans le labyrinthe en direction du bar. Nous croisions ne nombreux clients sur le chemin, et je devinais les regards envieux des uns et des autres. Charlotte ne semblait pas plus déstabilisée que ça, se promenant en ma compagnie, uniquement vêtue de ses chaussures, bas et collier. Bien entendu, elle ne s’éloigna jamais de moi. Nous arrivions au bar, et proposait à ma Soumise de prendre un verre, elle accepta, nous prenions nos commandes, et allions nous attabler dans le salon au milieu des convives. Pascal de passage s’arrêtait et nous fit un compliment sur la tenue de la Miss, et s’éloigna.

Nous profitions du tête à tête pour parler de l’ambiance de la soirée, et de son ressenti du moment. Aussi, elle en profita pour me parler de ses petits problèmes de santé. En bref, qu’elle était un peu fragile dans le sens, qu’elle n’était pas épaisse, et qu’elle était vite malade, surtout si on la secouait un peu. Sinon, elle aimait beaucoup l’ambiance, et le cadre du club. Je lui fis remarquer, que pour une première rencontre, elle n’avait pas vraiment froid aux yeux. Ce à quoi elle me répondit qu’elle se sentait en sécurité en ma compagnie, et par le comportement respectueux des hôtes. Elle me posa quelques questions sur mon passé dans ces murs, et je lui répondis, que je connaissais de longue date le patron, et que c’était lui qui m’avait initié à tout ça. Je pris mon temps pour regarder les allées et venues des clients entre le salon, le bar, et les différents couloirs, et en déduisit que la pièce du fond devait être libre. Une fois nos verres terminés, je proposais à ma compagne de visiter cette fameuse pièce équipée d’une croix et d’un hamac en cuir. Elle me suivit toujours dans sa tenue minimaliste, attirant les regards au passage. En arrivant dans la pièce, nous découvrons un couple en plein action utilisant le hamac. Ils pratiquaient une sorte de levrette à moitié habillés, suspendus par des chaines. Notre présence fut accueillie par un sourire crispé par l’effort, nous en profitons pour regarder la scène. Nous aurions pu nous inviter à rejoindre le couple, mais avec une débutante à mes côtés, ce n’était pas la meilleure idée du moment. La croix était libre, et je poussais Charlotte de s’y accrocher par les mains dos à moi. Je sortis chercher un martinet, et revint lui caresser les épaules et le dos lentement avec les lanières en cuir de l’instrument. Après un court instant, elle prit une pose parfaite sans rien demander : appuyée contre la croix, les cuisses écartées, les fesses cambrées, je continuais de la caresser, en passant l’instrument sur ses seins, sur son ventre, ses yeux fermés et son petit sourire en coin témoignait de son plaisir lié à la situation. Mais le martinet avait pour vocation d’un autre objet. Et, je commençais à l’utiliser sur son postérieur de manière plus académique. Elle semblait se cambrer d’avantage, et j’en profitais pour augmenter progressivement l’intensité des coups bruyants. Un homme entra dans la pièce en silence et contempla les deux scènes qui se jouaient devant lui. Je me concentrais sur ce que je faisais de manière de ne pas y aller trop fort, de petits souffles sortaient de la bouche de Charlotte, et se mêlait aux gémissements du couple du hamac. Je sentais de Charlotte arriver au bout de ce qu’elle pouvait endurer, avant de sombrer dans la douleur s’éloignant du plaisir.

Je décidais de m’arrêter, et de poursuivre mes caresses initiales quelques secondes, puis posa mon instrument, et commençait à passer ma main entre ses cuisses pour la caresser en public. Elle resta dans sa position bien cambrée, et mes doigts fouillaient son intimité, le tout facilité par sa cyprine. Son plaisir montait rapidement, et elle finit par jouir. L’homme regardait la scène et attendait que je l’invite à prendre ma place, mais ce n’était pas ma priorité du moment. Charlotte restait immobile, en reprenant son souffle, pendant ce temps-là, le couple qui était à quelques mètres de nous, s’éclipsait tout en nous regardant avec un sourire complice et discret. Ma Soumise se retourna et vint m’embrasser se blottissant contre moi. Je lui caressais les hanches et le dos pendant ce moment de tendresse, puis lui dis : « A toi de faire plaisir à ton Maitre : mets-toi à genoux ». Elle le fit, elle passa sa main sur mon pantalon sans, me quitter des yeux, sortit mon membre et commença sa fellation, devant l’inconnu qui nous regardait. L’homme me souriait, toujours en pensant à son plaisir possible par la suite, mais je lui fis comprendre par un petit geste de la main, qu’il ne devait pas se faire d’illusions. Il quittait la pièce un peu désabusé, et je sentais mon plaisir arriver. Quelques instants plus tard, ne pouvant retenir d’avantage ma sève, je sortis de la bouche de Charlotte, pour me répandre sur son torse, je n’avais pas oublié ses limites… Quelques minutes plus tard, je tendis la robe de la Miss afin qu’elle soit plus présentable pour quitter les lieux. Retour à l’hôtel, pour une fin de nuit version vanille.

Pour Charlotte une autre première fois venait de se terminer. Elle semblait heureuse du déroulement du week-end. Elle était d’accord pour continuer la visite guidée de mon univers côté obscur. Après une matinée et un déjeuner, où nous profitions pour discuter, apprendre à nous connaitre un peu plus… J’avais rapidement cerné sa personnalité, joviale, vivant sa vie au présent, surmontant ses galères et pensant un peu à son avenir de femme. De mon côté, j’écoutais et je voyais se dessiner peu à peu les limites de notre relation mais pour l’instant présent, elle voulait continuer de découvrir certaines choses. Le début d’après-midi fut consacré au shopping et à une petite visite chez Métamorphose, temple parisien des tenues et gadgets du monde Bdsm. J’en profitais pour saluer Martine et Jean-Pierre, je ne les avais pas revus depuis des lustres. Egaux à eux-mêmes, l’accueil fut excellent et nous en avions profité pour parler un peu du passé, de leur présent et notamment, les évolutions de leur boutique. Dans le quartier, j’en profitais pour faire visiter Beaubourg et les Halles à ma compagne, j’avais vécu une vingtaine d’années dans le secteur. Je voulais faire un petit cadeau à Charlotte histoire de la relooker un peu et passa commande dans un magasin du côté de la place de la République, nous devions repasser quelques heures plus tard pour être livrés. Nous avions bien 4 h à perdre et dans le quartier, je connaissais un endroit plutôt sympathique pour quelques heures. Le triangle parisien ; les Halles, Bastille, République est à connotation très prononcé LGTB. Etant plutôt sympathisant mais assurément non pratiquant, je connaissais quelques exceptions à la règle, dont un sauna propre, un peu particulier. Je proposais donc à la Miss d’y faire une petite visite afin de satisfaire sa curiosité et mes envies du moment. Trouver dans la capitale un lieu libertin, ouvert l’après-midi, non-spécialisé dans le gang bang n’est vraiment pas simple. Ce lieu est l’une des exceptions à la règle. Ils acceptaient les couples et les femmes seules.

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Quelques minutes plus tard, nous sonnions à la porte de l’établissement et cette dernière s’ouvrit rapidement. L’hôtesse d’accueil nous fit pénétrer dans le sas et timidement demanda à voir la pièce d’identité de Charlotte. Nos regards se croisèrent et avec son petit sourire narquois me dit « Je t’avais prévenu… ». Vérifications faites, nous entrions dans ce lieu, havre de détente et de jeux. Une fois le passage au vestiaire effectué, comme à chaque fois que je suis de retour à Paris et que je pénètre dans ces endroits que je fréquentais dans une autre vie, j’avais une sorte d’appréhension, lié à mon poison. Nous fîmes le tour des installations sur plusieurs niveaux : sauna, hammam, piscine, salons, fumoir en empruntant les différents couloirs. Il y avait peu de monde, ce qui ne me déplait pas forcément. Quelques couples relativement sages s’adonnaient aux plaisirs de la chair, d’autres regardaient, le tout dans le plaisir et la sérénité. L’ambiance nous fit passer de voyeurs éphémères à acteurs libertins, mais tout en restant en couple. Je n’oubliais pas que Charlotte était débutante dans ce monde également. Nous passions quelques heures entre les câlins, la piscine, le bar… Puis, vint l’heure de partir récupérer la commande passée plus tôt. La soirée fut en tête à tête à l’hôtel, agrémentée des ustensiles dédiés au dressage d’une jeune Soumise comme il se doit. Le dimanche, nous nous quittions avec l’envie mutuelle de poursuivre notre relation. Je savais, suite aux discussions que nous avions eues, que notre histoire Bdsm n’allait pas s’inscrire dans le temps. De retour chacun dans nos villes, nous continuions notre relation en mode virtuel avec des devoirs réguliers qu’elle devait me rendre et de se préparer à certaines pratiques… Quelques semaines plus tard, nous nous retrouvions à Lyon, ville que je traversais de temps en temps, mais que je ne connaissais pas. Je savais qu’il existait des petits clubs libertins mais ma relation du moment était plus basée sur le Bdsm. Nous avions décidé de passer deux jours ensemble. De mon point de vue, je la trouvais sympathique, un peu fofolle et passer des moments ensemble était un espace hors du temps, entre une vie professionnelle et associative bien remplie, c’était un loisir plaisant, sans stress, sans questions déplacées, sans prise de tête. J’avais réservé un petit hôtel en centre-ville dans un quartier piétonnier animé. J’avais eu le temps de faire un peu de shopping en attendant son arrivée et je découvrais une partie de la ville. Aussi, l’hôtel était prévenu de son arrivée et un badge l’attendait à la réception. Mes consignes, elle les connaissait : elle devait se préparer en mon absence et revêtir sa tenue de Soumise identique à notre première rencontre, sauf que le string n’avait plus sa raison d’être. J’avais laissé sortis mes instruments : bâillon, cravache, liens, pinces sur le lit et quelques autres consommables. Je me surprenais à rire au fait de penser au cas où une femme de chambre venait à l’inspection, avant son arrivée… Mais, elles en avaient vu d’autres certainement. Un ami Directeur d’un grand hôtel de Strasbourg, m’avait montré tout ce que les personnes pouvaient oublier dans leurs chambres et il pouvait ouvrir un sex-shop pour écouler tout le matériel non réclamé. Je reçu un sms de Charlotte qui me prévenait qu’elle était arrivée, et qu’elle commençait à se préparer. Il était temps pour moi de revenir sur mes pas pour me rapprocher de mon hôtel. Je m’arrêtais sur le chemin pour boire un café et patienter. Un sms arriva pour m’informer qu’elle était prête. Je pris un peu mon temps, pour rejoindre la chambre. Je croisais du personnel sur le chemin et me concentrais sur ce que je voulais faire et comment le faire. Arrivé devant la chambre, je voulais la déstabiliser un peu, et pour cela, je décidais de frapper à la porte, comme pouvait faire une femme de chambre. Rien que de penser à sa possible réaction, je riais tout seul. Les puristes diront ce qu’ils voudront mais se prendre pour un grand Maître comme un curé avant la messe, ou un joueur de foot avant de rentrer sur le terrain pour la finale de coupe du monde, ce n’est pas mon genre, ni de véhiculer cette idée. Ne jamais oublier qu’avant tout, je suis le Maître parce qu’elle veut bien se soumettre et que si elle ne veut plus, je ne suis qu’un pauvre imbécile comme un autre, ce que beaucoup oublient. Je frappais à la porte et une fraction de seconde plus tard, j’utilisais le badge pour l’ouvrir et lui dis « Bonjour ! » Elle me répondit « Bonjour Maître », ses yeux étaient bandés, mais à regarder son visage, je lisais un énorme sourire sur ses lèvres… Je partis me laver les mains. De retour dans la chambre, elle n’avait pas bougé, seulement son sourire était plus discret mais bien présent. Je pris ma cravache et lui dis : « Comme ça, je vous fais rire ? » et simultanément, je lui caressais les épaules de l’extrémité de mon instrument. Elle hésita car elle ne savait quoi répondre, elle reçut un petit coup de cravache sur le postérieur. La séance de dressage se poursuivit avec le port du bâillon et les pinces Japonaises, et quelques caresses et coups de cravache. Elle était très obéissante, et délaissant tous les artifices et gadgets, le plaisir charnel mutuel se pointait à l’horizon. Douches prises, nous sortions diner dans un petit restaurant du centre-ville, une très bonne table où nous parlions de nos avenirs respectifs. J’avais depuis la première rencontre compris qu’elle aimerait trouver un père pour ses futurs enfants et je lui avais bien expliqué, que de ce côté-là, j’avais déjà donné à deux reprises mais que si elle trouvait l’homme potentiellement providentiel elle pouvait partir, et que je comprenais très bien sa situation, ses envies et qu’elle ne me devait rien. La soirée se termina tranquillement en version soft. Le lendemain matin, après le petit déjeuner, nous étions de retour dans notre chambre et nous avions quelques heures devant nous. Je lui demandais de se déshabiller et d’aller au lit, je vins la rejoindre et nous commencions à faire l’amour. Pendant une petite pause, je lui demandais si elle était prête de faire ce à quoi ses devoirs l’avaient préparé, elle me répondit que oui, elle se retourna et me présenta son postérieur, je pris un nouveau préservatif, l’enduisit de lubrifiant, et commença à forcer sa petite rose, elle ne bougeât pas, simplement releva la tête, et souffla. Je rentrais en elle tout doucement et une fois bien en place, calmement, je commençais mon va et viens reptilien contrôlé. Je savais qu’elle n’allait pas jouir de cette façon, et que c’était une première approche de la chose. Apres plusieurs minutes, je me retirais doucement d’elle. Puis, elle vint se blottir contre moi, je la prenais dans mes bras un long moment dans le silence. Vint l’heure de la séparation, après de jolies paroles et de beaux baisers, chacun retournait chez lui. Nous continuions nos échanges téléphoniques et écrits, elle continuait de faire quelques devoirs, et un beau jour, elle m’annonçait qu’elle avait trouvé un homme sur Tinder. Je connaissais ses envies et respectais son choix.

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