Dominant De Nature

Andréa

Andrea

Une soirée de Juin 2012…

Il était 20h, un vendredi soir à Paris, j’étais invité à dîner chez un couple d’amis de longue date, Véronique et Julien. Un couple très sympathique que je connaissais depuis une dizaine d’années. Ils sont libertins, et je les avais connus lors d’une soirée dans un petit club de la capitale. Depuis, nous avons toujours gardé le contact, ils étaient devenus de vrais amis. Le programme de la soirée était, un petit dîner entre amis, et aller un club « boire un verre ». Mon iphone se mit à sonner, et sur l’écran le prénom de Danielle s’afficha, je décroche et elle m’informa d’une voix pimpante, qu’elle venait de se garer un peu plus haut dans la rue. Danielle est une femme avec qui j’ai une grande amitié, douce, bien dans sa tête, dans son corps et coquine. Une perle rare ! (Quelques années avant, elle m’avait proposé une relation plus profonde, chose qu’il m’était impossible d’assurer de par mon métier). C’était la seconde fois qu’elle m’accompagnait à un diner chez mon couple d’amis, elle était ravie de m’accompagner de nouveau. Un bisou plus tard, nous sommes chez Véronique et Julien. Nous prenons l’apéritif, et je remarquais que les deux princesses de la soirée portaient de jolies robes en adéquation avec la suite de la soirée. Discussions, dîner, café, digestif et vers 23h, nous suivons le choix de Danielle pour terminer la soirée en club. C’était un club que Danielle connaissait bien, moi un peu moins, et mes amis pas du tout. Vendredi soir c’était « soirée couple », donc une bonne soirée en perspective… Arrivée au club vers 23h30, à ma grande surprise, il n’y avait pas beaucoup de monde, une quinzaine de couples maximum, nous commandons les boissons et allons à la découverte des salons. Quelques couples faisaient l’amour dans les différents recoins et les autres circulaient comme nous en regardant, les corps enlacés.

Andrea

L’amitié et la complicité que je partage avec Véronique et Julien est réelle, et dans ce cadre, nous n’avons pas besoin de parler de ce que nous allons faire ou pas, échanger nos partenaires ou non, jouer avec d’autres couple ou pas. Véronique fit un petit geste en direction de Julien pour lui désigner un couple à son gout et tous les quatre partirent dans une alcôve bien douillette. Avec Danielle, nous les regardons, ces deux couples, qui, quelques minutes avant, ne se connaissaient pas, commençaient à faire l’amour. Danielle me tenait par la main et m’invita à continuer la visite des lieux. Non loin de là une petite pièce, ou deux couples faisaient l’amour, visiblement l’intensité des ébats était à son paroxysme, nous étions à quelques centimètres d’eux, lorsque la main d’un des hommes toucha délicatement la poitrine de Danielle. Sans un mot, je lâchais la main de Danielle, ce qui signifiait que si elle voulait, elle pouvait entrer en scène avec eux. Elle se laissait caresser par un homme qui simultanément prenait en levrette une jolie brune, qui ne portait plus que ses cuissardes. La main le l’homme glissait doucement vers le ventre de Danielle qui semblait apprécier ce moment, doucement, je caressais la nuque de ma compagne, elle tourna sa tête vers moi, me fixa dans les yeux et enfonça sa langue dans ma bouche. Un peu surpris, je sentis une main me caresser le sexe à travers le pantalon, un coup d’œil pour vérifier, d’où venait la main (sait-on jamais) et rassuré du fait qu’il s’agissait d’une main féminine. Mes lèvres collées à celles de Danielle qui ondulait de plaisir, les langues qui se cherchent et une jolie rouquine qui vérifiait l’état mon érection. Mon pantalon me gênait, la rouquine l’avait également remarqué, et en quelques mouvement précis de sa part, l’objet de ma gêne était tombé au niveau de mes chevilles, suivi par mon boxer. Danielle décolla sa bouche de la mienne et contempla mon état d’excitation bien visible. La rouquine venait de changer de position, elle était en levrette également et toutes les deux saisirent mon sexe bien tendu, ma main gauche caressait la croupe de Danielle, et la bouche de la rouquine engloutit mon membre, elle ne pouvait pas le tenir de la main du fait sa position mais Danielle le faisait pour elle. De ma main droite, je caressais le cou de la rousse puis ai saisis sa chevelure délicatement, mais fermement pour accompagner ces allers/retours buccaux autour de mon organe. Soudain, Danielle qui se faisait caresser, me glissa à l’oreille : « je te veux et maintenant ! » Elle était d’un regard souriant, mais ferme, je savais ce qu’elle voulait, donc le temps de prendre congé de la jolie rousse, de remonter mon pantalon, et nous voilà tous les deux sur un grand lit seul, elle était très excitée, son sexe tout mouillé, et à peine touché son clitoris, un petit cri lui échappa. Nous étions allongés l’un contre l’autre et une fois la robe de Danielle disparue, elle commença une fellation, lente mais très serrée. D’un coup, elle arrêta et décida de me déshabiller complètement, ce qui fut fait en quelque secondes. Je saisis un préservatif que je mets en place, puis, elle vint me chevaucher, lentement mais profondément. Je la regardais, lui caressais les seins, les hanches et d’un coup lui saisis la nuque pour l’embrasser… Dans le feu de l’action, sur le même lit venait de s’installer deux filles en sous-vêtements, elles s’embrassaient, et visiblement, elles avaient très envie de s’amuser entr’elles. Les hommes qui les accompagnaient étaient habillés debout au pied du lit et regardaient ce spectacle lesbien. Elles étaient à vingt centimètres de nous. Danielle allongée contre moi regarda amusée ce duo, je regardais également intrigué et admiratif. C’était un spectacle doux, passionné mais d’une très grande intensité et mon état d’excitation revenait.

Andrea

Danielle ne quitta pas ce spectacle du regard et se risqua à passer sa main dans les cheveux de la fille la plus proche. Cette dernière tourna la tête et lui fit un joli sourire et recommença à embrasser sa partenaire. Danielle continua à caresser la jolie brune en descendant ses mains vers les seins de la fille souriante. A ce moment-là, je me demandais quoi faire ? Ne plus bouger, regarder le spectacle, trois femmes se faisant l’amour, là, allongées à quelques centimètres d’elles. Soudain, la troisième fille qui semblait passive, tourna sa tête vers mon visage, un joli sourire et elle posa un doigt sur les lèvres. En une sorte de réflexe, j’embrassais légèrement et délicatement son doigt, qu’elle retira lentement. Bon, j’étais visiblement de trop, et Danielle un « peu » occupée, je décidais d’aller me reposer un peu au bar à côté de la piste de danse via un passage aux douches. Danielle finirait bien par me rejoindre. Véronique et Julien étaient au bar en train de discuter aimablement avec leurs nouvelles connaissances. Je décidais d’aller un peu plus loin au bar, seul. Quelques dizaines de minutes plus tard, Danielle fit son apparition en se réajustant dans sa robe, visiblement, elle sortait de la douche un peu fatiguée, et vint s’assoir sur mes genoux. Alors, je lui demandais si elle avait passé un bon moment avec ses « deux copines » du moment, et me répondit « Oui ! bien » et rebondit « Pourquoi es-tu parti ? ». Je lui expliquais que je m’étais senti de trop et les trois filles ensemble, c’était sympa… Nous avons dansé un peu, et retour en visite vers les salons, tous les deux, main dans la main. Sur le chemin, nous croisons les deux brunes du trio « lesbien » et celle que j’avais à peine vue me fit un grand sourire appuyé, et qu’aussitôt, je rendis. Elle vint vers nous et s’exprima en anglais : « J’aimerai bien que ma copine et moi puissions s’occuper de toi… » Directe, la fille ! Danielle avait tout entendu, et je lui demandais son nom : « Andréa ». Je demandai à Andréa que va faire Danielle pendant ce temps, elle me répondit qu’elle pouvait s’occuper du copain de l’autre (Evelyne, une Française). Connaissant Danielle, le copain d’Evelyne n’était pas du tout son genre d’homme (gros, poilu… aucune classe) donc, je répondis que je n’imposais rien à mon amie, et que si elle le souhaitait, peut-être, mais elle ne le fera pas pour mon plaisir ni faire plaisir au copain d’Evelyne ! D’un regard complice, Danielle me fit comprendre d’y aller… et me voilà allongé sur le grand lit avec d’un côté Andréa et de l’autre Evelyne. Danielle nous avait accompagné jusqu’au lit et s’était assise en face pour profiter du spectacle, j’ai aperçu le copain d’Evelyne s’assoir à côté d’elle… J’ai commencé par embrasser délicatement Andréa puis je lui ai dit d’enlever sa robe, pendant ce temps-là, j’embrassais Evelyne et dit la même chose, j’étais habillé avec deux femmes en sous-vêtements dans mes bras, je roulais des pelles avec les deux filles simultanément et fit glisser le soutien-gorge d’Andréa. Rapidement Evelyne retira son tanga et s’installa la tête entre les cuisses d’Andréa que j’embrassais fougueusement. Evelyne me retira mon pantalon pendant qu’Andréa déboutonnait ma chemise, j’étais dans un tel état d’excitation que je devais me concentrer un maximum pour ne pas jouir trop vite. Evelyne retourna entre les cuisses d’Andréa pendant que je l’embrassais, mordillais les seins, la caressais, quand Andréa commença à onduler de plaisir, Evelyne prit mon sexe dans sa bouche et commença un va-et-vient langoureux sans faille avec des petits coups de langue savamment placés. Je devais redoubler de concentration et pensais à l’action de mes doigts sur le clitoris saillant d’Andréa sous son string. Je n’allais pas pouvoir continuer comme ça une éternité, alors fermement, j’ai saisi le cou d’Evelyne pour lui faire lâcher mon sexe et doucement l’installer en « 69 » sur Andréa. J’ai fait glisser le string trempé d’Andréa et me suis installé devant sa tête, elle engloutit mon sexe en le contrariant un peu, puis le libéra. Je mis en place un préservatif puis pénétra très lentement Evelyne, cette dernière se cambrait pour que j’aille le plus profondément possible et se remit à dévorer le sexe d’Andréa. Petit à petit, mes coups de reins s’accéléraient, mon dard était devenu moins sensible du fait du préservatif et Evelyne amplifiait mon va-et-vient du mouvement de son bassin. Andréa léchait le sexe d’Evelyne en alternance avec mes testicules. Changement de position, Evelyne sur le dos, Andréa entre ses cuisses et le temps d’enlever mon préservatif mon sexe dans la bouche d’Evelyne. A ce moment, je me rendis compte que le lit était entouré d’une trentaine de personnes, qui regardaient le « spectacle ». Danielle était assise à côté d’une femme (Viré mec d’Evelyne). J’ai reconnu Véronique et Julien également à côté d’elle. Tous ces visages qui regardaient ce que nous faisions, croyez-moi si vous le voulez, mais habitué ou non, c’est quand même un grand moment de solitude mêlé à de la fierté. Le challenge pour moi était de me convaincre de rester du côté de la fierté et non de la solitude, afin de garder mon érection. Andréa appréciait le sexe d’Evelyne, mais avait envie, elle aussi d’être prise. Je m’installais derrière elle et la pénétra d’un trait ! Un son rauque sortit de sa bouche et elle se mit à gémir de plus en plus fort, jusqu'à l’orgasme, où elle s’écroula sur Evelyne. Cette dernière déplaça Andréa et vint me dire à l’oreille : « Je veux la même chose, baise-moi ! » et je lui répondis : « Ok, mais j’ai besoin que tu me remettes en forme avant », elle retira mon préservatif et commença à me masser le sexe, Elle savait très bien le faire, comment placer ses doigts et recommença à me sucer, une véritable experte, toujours ses coups de langue… Après quelques instants et de nouveau en « tension », je saisis un préservatif, le déballa et l’installa. Andréa regardait la scène avec un léger sourire, et un regard qui devenait lubrique, une sorte de défi ! Je change de registre, saisis fermement les hanches d’Evelyne, la positionne en levrette et la pénètre très fermement en souvenir du « baise- moi » ! Cette fois-ci, je me laisse aller une fois la miss bien positionnée, je la pénètre de plus en plus intensément, plus elle crie (de plaisir) plus je force, à ce petit jeu, au moment où l’orgasme arrive, je la saisis par les cheveux de façon à rester bien profond en elle. Ces mains cognent contre le lit, elle hurle de plaisir et je me retire. Andréa vint à côté de moi, se lova, m’embrassa et me glissa un mot à l’oreille, j’étais un peu sonné, je retirais mon préservatif, et Evelyne se retourna et m’embrassa. Je m’allongeai à nouveau. Toutes les deux, le maquillage défait vinrent à côté de moi et je leurs fit remarquer que je n’avais pas joui, elles me firent une fellation à deux bouches et quatre mains, je gardais les yeux rivés au plafond pour ne pas croiser le regard des « spectateurs », mes mains caressaient leurs visages, les cheveux et enfin une sorte de délivrance mais aussi la fin d’un merveilleux moment. Je les remercie, bises à chacune en sortant du lit, je croise les mecs, je les remercie également et vais à la douche.

Retour au bar, Danielle avec une coupe de champagne et une nouvelle jeune amie m’explique que Véronique et Julien sont rentrés fatigués, et que, pour nous, ça sera bientôt la même chose ! Nous discutons un peu au bar avec la minette… Je vois Evelyne et son mec repartir, Andréa et le sien arriver au bar. Echange de sourires, je serre la main de son mec, elle me fait la bise et glisse discrètement un mot dans la poche de mon pantalon…

Andrea

Rentré chez moi, une douche plus tard, allongé sur mon lit, je regardais ce petit mot laissé dans ma poche, amusé et intrigué à la fois, ce n’était pas la première fois que cela m’arrivait, mais dans la grande majorité des cas c’est moi qui laissait mon numéro de téléphone et non le contraire. Le contenu de ce mot était succin : « Call me, Andrea, Kisses » et un numéro de portable américain. La fatigue aidant, je posais le petit mot sur ma table de nuit et le sommeil m’emporta rapidement. Il était midi, et le bruit de la rue me réveilla. Une belle journée était en vue, j’avais rendez-vous avec un ami de passage à Paris dans l’après-midi, nous devions dîner ensemble plus tard, il venait d’Afrique du Sud et je ne l’avais pas vu depuis quatre ans. Levé, préparé, mon regard croisa le petit billet signé Andrea, en attendant mon rendez-vous de l’après-midi, je pouvais voir de quoi il en retournait plus précisément. Je décidais de lui envoyer un SMS, car visiblement hier soir, elle était accompagnée d’un homme et je ne connaissais pas la nature de leur relation. Je saisis sur mon iPhone, le numéro de téléphone laissé à ma disposition et envoya un petit message en anglais, soft de remerciement plutôt vague, car ne sachant pas si c’était vraiment son numéro (une blague ?), au pire elle aurait également mon numéro de téléphone. La réponse à mon SMS fut immédiate de la part d’Andrea, et elle me demandait si j’étais libre pour prendre un café à Paris. Nous fixons rendez-vous par échange de SMS, sur le pont entre l’île de la Cité et l’île Saint-Louis à 14h, c’était au centre de Paris et à cinq minutes de chez moi. 14h au point de rendez-vous, je regardais autour de moi en surveillant son arrivée, amusé pas le flot de touristes et les différents spectacles autour de moi. Je me posais beaucoup de questions, sera-t-elle seule au rendez-vous ? et surtout : vais-je la reconnaître ? Mon téléphone sonna : un SMS d’Andrea : « in 5 mns ». Donc elle était sérieuse, et prévenante… Effectivement, quelques minutes plus tard, une jolie brune avança vers ma direction animée d’un large sourire… c’était elle, ce regard était inoubliable. Elle était vêtue d’un jean et d’un chemiser blanc. Ça changeait de la robe « cocktail » de la veille, mais là c’était pour un café… Hello !, bises sur la joue et direction la terrasse d’un café de l’île Saint-Louis. Nous commençons à parler du quartier, de la météo, de banalités et après un bref silence, je lui demandais si elle se souvenait bien d’hier soir… La réponse fut affirmative avec dans son regard une sorte de défi. Je lui demandais qui était l’homme qui était à ses côtés hier soir. Son regard changea, elle devint plus sérieuse, et m’expliqua que c’était son mari depuis six ans. Puis, elle commença à me raconter sa vie avec son mari. Ils étaient séparés depuis un an, mais pour la reconquérir, il lui avait proposé un séjour de trois semaines à Paris… Depuis un an, elle n’avait pas touché son mari, et lui voulait absolument une nouvelle chance ! Je lui posais la question : Aller en club échangiste pour rétablir un couple, est-ce vraiment la meilleure solution ? Elle me répondit que la condition de son voyage à Paris avec lui était de faire ce qu’elle voulait, et que lui avait une seule exigence : « baiser » avec elle une fois par jour… Sans chercher à juger, je trouvais le deal entre eux très peu fiable et très risqué. Ce n’était pas mon problème, et je gardais le silence sur ma réflexion. Je lui demandais si elle connaissait le « libertinage » depuis longtemps, et me répondit qu’au cours de sa séparation elle avait eu deux aventures avec un couple d’amis, et une fois une sortie en « club » aux US mais, qu’à part sa bisexualité le reste était très nouveau. Elle trouvait que pour sa première expérience en club, en France, hier soir c’était une très bonne soirée. Et que le standard des clubs français était bien plus élevé que ce qu’elle connaissait (également par réputation) de l’autre côté de l’Atlantique. Après une heure de conversation, je lui demandais pourquoi elle désirait me revoir ? Réponse directe : Elle et Kevin (son mari) me proposaient un plan à trois ce soir, si j’étais disponible, où un autre jour ! Le temps passa vite et mon téléphone sonna, c’était JP mon ami expatrié en RSA qui me fixait rendez-vous pour 18 h pour apéritif et dîner du côté de Montparnasse. Je demandais à Andrea si c’était la première fois qu’elle faisait un plan à trois avec Kevin. Elle me répondit dans l’affirmative. Une autre question de ma part : Kevin était-il bien d’accord ? Andrea me répondit, qu’elle lui avait expliqué qu’elle voulait absolument me revoir et qu’il lui avait proposé d’être présent et de participer… Je donnais mon accord de principe, sous conditions suivantes : Je suis strictement hétéro, préservatifs, pas d’uro ni de scato. Elle me répondit : pas de problèmes en ajoutant : pas de sodomie. Je pris rendez-vous avec elle à 23 h et lui demandai son adresse. Surprise, ils louaient un appartement à 100 mètres de chez moi ! Je pris congé d’Andrea en l’embrassant sur la bouche légèrement, elle se colla à moi et m’embrassa d’une manière qui ne laissa pas de doutes sur ses intentions pour la fin de soirée. A 18 h, je rencontrais JP puis dînais avec lui, souvenirs communs, projets, amitié, bref tout ce que se racontent deux amis de longue date. Vers 22 h, nous avions fini de dîner, et je décidais de rentrer afin de me préparer à la fin de soirée.

Andrea

Salle de bain, douche, habillé de circonstance une bouteille de Champagne à la main, j’arrive au pied de l’immeuble d’Andrea et Kevin. Un digicode et pas de code… un SMS à la Miss pour expliquer la situation, et quelques minutes après, elle vint me chercher. Elle était habillée d’une robe longue, et de jolies chaussures à talons hauts. Grand sourire sous un joli maquillage et m’invita à la suivre. Arrivé à l’appartement, Kevin ouvrit la porte, et me serra la main. Nous nous installons dans le salon et Kevin ouvrit la bouteille de Champagne. Andrea revint avec trois coupes et nous voilà en train de faire connaissance. Kevin se présenta comme avocat d’affaire, et comme tout bon américain commença à parler argent, possessions, ambitions… J’écoutais tout en buvant ma coupe de Champagne. Andréa était assise à côté de moi et écoutait son mari parler et de temps en temps, je croisais son regard qui exprimait ce que je pensais, et Kevin ne tarda pas de le remarquer. Soudain, il changeât de sujet en me demandant si c’était la première fois que j’étais invité à un plan à trois. En toute sincérité, je répondis que non, et lui, ajouta que c’était leur première fois… De ce fait, Kevin me demanda de prendre en main la suite des événements. Andrea se leva et alla chercher un foulard et me le présenta, je lui demandais de le donner à son mari, Kevin le prit, et banda les yeux de sa femme. J’étais assis sur le canapé et le couple se tenait debout devant moi, Andrea devant Kevin qui la tenait délicatement par les épaules. La scène était excitante, le mari me présentait sa femme les yeux bandés, je commençais à me sentir à l’étroit dans mon jean. Je me levais et sortis de mes poches les préservatifs et les petites pochettes de gels que je posais sur la table basse à portée de main. Du dos de la main, je caressais les joues d’Andréa, Kevin lui embrassa le cou. Elle me posa la main sur la poitrine, et chercha mes lèvres de sa bouche. Les langues se touchèrent et se frottaient l’une à l’autre. Kevin recula un peu et fit tomber la robe de sa femme, elle était nue et ne portait plus que ces chaussures. Trop à l’étroit dans mon pantalon, je décidais de l’ouvrir et guida la main d’Andrea vers mon boxer qui ne dissimulait pas du tout mon état. Kevin autoritaire mit à genoux la Miss offerte et approcha sa bouche de mon membre, elle baissât mon boxer et commença à me sucer, lentement, méticuleusement. Kevin alla s’installer dans un fauteuil perpendiculaire à la scène et regarda le spectacle devant lui. Je guidais la tête d’Andrea qui allait et venait méthodiquement. Son homme sortit son sexe, et commença à se masturber, engoncé dans son fauteuil, était-il candauliste ? J’étais très à l’aise et très en forme. Andrea semblait apprécier le moment et je décidais de la forcer à se lever. Debout devant moi, mon sexe dans sa main, elle chercha à m’embrasser, j’approchais ma bouche de la sienne et de nouveau nos langues se tournaient l’une autour de l’autre. Ce baiser était d’une rare intensité, et mes mains commençaient à longer tout son corps, le dos, le cou, les seins. Elle commença à se frotter contre ma virilité, et je commençais à explorer son intimité, délicatement. Afin de faciliter les choses, elle recula un peu et mes doigts commencèrent à jouer avec son clitoris. Délicatement, je la fis s’assoir au bord du canapé, lui écarta les jambes de façon à libérer son sexe au maximum. Son mari regardait la scène, en continuant de boire du champagne et en se masturbant. Je pris ma coupe de Champagne, en pris une gorgée et versa le reste sur le clitoris d’Andrea. Je décidais de lécher la Miss, ma langue commença par titiller son clitoris, puis, alla lentement et délicatement le long de ses lèvres. Elle était très excitée, la cyprine coulait discrètement de son sexe et elle bascula en arrière afin de s’offrir au maximum. Ma langue jouait avec son sexe et ses gémissements étaient de plus en plus forts, ils étaient synchrones avec les mouvements de son bassin. Je sentais qu’elle était au bord de l’orgasme et pour le déclencher, je décidais de toucher délicatement et précisément son point G avec mon index. En quelques secondes, l’orgasme se déclenchât. Arrêtant toutes stimulations, je me mis à lui embrasser les seins, puis la bouche. Elle avait la bouche froide, signe que l’orgasme n’était pas simulé. Je pris un peu de recul et décidais de lui retirer le foulard qui commençait à tomber. Elle me fit un grand sourire en me voyant et m’embrassa de nouveau. Elle me demanda de me déshabiller complètement afin de continuer le jeu. Andrea se retourna et s’allongea sur le dos, je pris un préservatif et lui donnait. Elle ouvrit l’emballage et le mit en place sans difficulté. Tout en l’embrassant, mon dard pénétrait lentement son sexe, trop lentement à son gout, alors, d’un mouvement de bassin, elle le fit entrer entièrement. Le lent mouvement de mes hanches commençait à porter ses fruits, la Miss gémissait à nouveau, faiblement, mais toujours dans le rythme de mes reins. Mes mouvements étaient complètement maitrisés, dans le tempo et dans la profondeur. Je modifiais l’un des paramètres et en fonction de sa réaction et jouais avec ses sensations. Je sentais mon éjaculation proche et décidais de me retenir autant que possible. Je voulais la faire jouir encore une fois. Afin de parvenir à mes fins, j’installais Andrea en levrette et saisis ces hanches fermement. Mon sexe entra sans difficultés et je voulais la faire crier de plaisir. Méthodiquement, mes aller-retours étaient le plus profond possible, ma main gauche tenait ses cheveux et ma main droite claqua ses fesses sans violences mais bruyamment. L’effet fut rapide la Miss répondait à mes coups de boutoirs avec des coups de reins et la vulgarité de ces propos étaient intraduisibles, elle venait de jouir ! Mission effectuée !

Andrea

Kevin n’avait pas bougé, ni parlé, il ne faisait que regarder. Je dis à Andrea qu’une petite pose serait bienvenue et que son mari n’était pas obligé de rester passif, dans les limites énoncées dans l’après-midi… Elle me répondit qu’elle avait envie de boire et de fumer une cigarette. Fin du premier « round ». La Miss remit ses chaussures, et enfila sa robe et me proposa de faire un tour dehors. Je m’habille et nous voilà dehors tous les deux. Andrea m’expliqua qu’elle ne voulait pas rester avec son mari, que c’était un c.n, que c’était une erreur d’avoir accepté ce voyage avec lui à Paris. Le seul point positif pour elle était le libertinage pendant les vacances et … ma rencontre ! Bon, les choses se compliquaient un peu pour moi : invité à un trio, la maîtresse de maison m’annonce qu’elle m’aime ! Je suis un peu déstabilisé, dans le monde de l’échangisme, c’est la deuxième fois qu’une femme mariée me déclare sa flamme, et la première fois à la pause cigarette d’un plan à trois. La majorité de mes petites amies provenaient de rencontres dans les clubs parisiens ces vingt dernières années, mais elles étaient accompagnées d’amis, ou seule, mais pas de leurs maris ou « petit copain » ! Je dis à Andrea : - « es-tu certaine de ton sentiment vis-à-vis de ton hubby (mari) », elle me répondit – « oui à 100% ». Je lui répondis - « mais vous et le libertinage, je ne crois pas que vous soyez des débutants », elle me répondit en me tenant le bras – « hier c’était la première fois pour Kevin, et c’est pour ça qu’il n’a rien fait, pour moi j’ai eu deux expériences avec un couple d’amis il y a quelques mois. Mais tout ça c’était un fantasme, et je voulais passer à l’acte ». Je poursuivis : – « Mais ce soir, c’était l’idée de qui ? ». Elle me répondit : - « De nous deux ! Je voulais te voir seule, il le savait et voulait que je reste avec lui, alors dans le cadre de nos activités libertinage c’était un bon compromis ». Les cigarettes s’enchainaient et Andrea se collait de plus en plus à moi. C’était une belle femme, sympathique, mais je ne croyais pas à un coup de foudre après une soirée dans un club échangiste. Il était temps de rentrer pour un second « round » Hubby allait s’inquiéter. Arrivé devant chez eux, Miss composa le code d’entrée, la porte s’ouvrit, la lumière s’alluma et arrivée devant la porte, Andrea sonna. Une minute, elle sonna de nouveau, personne, elle prit son téléphone et appela Hubby. Kevin lui annonça que lui également était sorti de son côté faire un tour, et que nous devions attendre sur le palier son retour… Il était 2 h du matin, et je ne voulais plus m’éterniser, mais je ne voulais pas abandonner Andrea seule sur son pallier, la lumière régulée s’éteignait toutes les trente secondes, et la Miss avait rapidement décidé de ne plus toucher à l’interrupteur. Nous étions dans la quasi obscurité tous les deux sur un pallier et elle se mit à m’embrasser fougueusement, pas un mot que des actes. En essayant de faire un minimum de bruit (voisins possibles), je la plaque contre le mur, la caresse, les seins, les fesses, son cou et enfin son sexe. Sans un mot, je fis tomber sa robe et lui montra qu’elle devait s’occuper de mon sexe tendu. Elle se baissa et sortit mon dard aussitôt avalé dans un geste d’une rare efficacité. Je la pris par les cheveux et la fit se relever, se retourner, et visage contre le mur lui fit écarter les cuisses. D’une main, je lui caressais les seins, et de l’autre, lui caressais son intimité, elle mouillait et je décidais d’essayer de la faire jouir. Mes doigts jouaient avec son clitoris, ces petites lèvres. Un doigt entrait dans son intimité, un second, un troisième. Elle se cambrait de plus en plus et cherchait à minimiser ses gémissements afin de garder un maximum de discrétion par rapport au voisinage. Je continuais de caresser Andrea, en répondant autant que possible au langage de son corps. Le temps n’existait plus, nous étions seuls au monde, nos lèvres se collaient, nos langues se mêlaient et le corps de la Miss se mit à se tendre, elle avait de nouveau joui. De manière très directive, je lui pris le cou et dirigeais sa tête devant mon membre tendu au maximum. Elle savait exactement ce que j’attendais d’elle et se mit à l’œuvre. Cette fois-ci, son objectif était clair me faire jouir, avec toute la meilleure volonté du monde elle me fit une fellation mémorable, toutes les sensations qu’une femme pouvait donner dans cette situation étaient ressenties de mon côté, je l’avertis discrètement afin qu’elle ne soit pas surprise (d’expérience les femmes préfèrent ça) et la fin arriva inexorablement. Elle continua à garder en bouche mon membre quelques instants, le temps qu’il retrouve une posture compatible avec mon pantalon reboutonné…

Andrea

Quelques minutes plus tard, j’allumais à nouveau la lumière, et regardais fixement Andrea, les restes de son maquillage était du plus bel effet… Il ne laissait aucun doute sur la nature de la soirée. Elle se lova contre moi. J’avais encore envie d’une cigarette, je proposais à la Miss de descendre dans la rue en fumer une. Elle me suivit et nous voilà devant la porte de son immeuble en train de fumer. Elle rappela hubby et lui demanda ou il était, la suite, j’étais trop fatigué pour garder la concentration nécessaire à suivre la conversation, mais Kevin devait arriver dans peu de temps. En attendant Kevin, Andrea m’embrassa de nouveau légèrement et me dit qu’elle m’appellerait demain… Je décidais de rester avec elle jusqu'à l’arrivée de hubby : ne pas la laisser seule et surtout si hubby « pétait un plomb », je pouvais lui proposer de venir chez moi… Kevin arriva au bout de la rue, il marchait lentement en regardant dans notre direction. J’imaginais tout dans mon esprit, ma carrure faisait que je ne risquais rien physiquement, à moins qu’il ne soit inconscient. Arrivé devant nous, il nous fit un sourire ironique. Il me tendit la main et me dit : - « Il est temps de rentrer chez toi, il est tard ». Je sentis une tentative d’infériorisation maladroite, un coup d’œil à Andrea et je répondis à hubby : - « Je te remercie de l’invitation, et à bientôt, bonne fin de soirée », lui serrait la main très fermement, avec un grand sourire hypocrite au possible. Une bise à Andrea en lui demandant si elle pouvait gérer la situation. Elle me répondit par l’affirmative. Et je suis rentré chez moi en faisant un grand détour, qui avait pour objectif de contempler la Seine et le reflet des lumières sur l’eau et vérifier que je n’étais pas suivi. Une phrase d’Andrea resta dans ma tête : -« I call you tomorrow ».

Nous étions en Aout 2012. La période des vacances arrivait à son terme, Andréa et moi, continuions à nous écrire et surtout nous parler. Elle était rentrée à New York, et son mari au Texas. Elle ne cachait pas son envie de me revoir, mais pour elle, c’était compliqué, son solde de vacances étant épuisé. Lors d’une conversation, elle me proposa de venir chez elle la voir. Même si la période qu’elle traversait sentimentalement était difficile avec « Hubby » qui la harcelait, elle misait sur notre relation naissante. Quinze jours plus tard, je descendais de l’avion à l’aéroport JFK, après un voyage plutôt long, j’étais content d’attendre mon bagage pour me défouler les jambes. Durant le trajet, j’avais largement eu le temps de me souvenir de nos, peu mais intenses, moments passés ensemble. Son visage, son corps, ses postures, nos délires, trottaient d’un pas léger dans mon esprit. Je connaissais bien la Californie, le Nevada et une partie du Colorado, mais la côte Est des Etats-Unis, pas du tout. Valise en main, contrôle d’immigration passé, me voilà dans le taxi direction Manhattan. Durant le trajet et malgré la fatigue, je contemplais le paysage très urbain, en franchissant un pont pour arriver à mon lieu de destination, mon regard se fixa sur le tableau qui se dessinait devant moi : une ville verticale. J’ai vu des gratte-ciels, j’ai visité de grandes villes, mais là, ça dépassait l’imagination, ou tout ce que je m’étais fait comme idée de la chose en regardant les reportages ou les films. Un mot titanesque. Du béton, du verre, de l’acier et de l’eau, et curieusement rien de végétal. Ces images sont gravées en noir et blanc dans ma mémoire, de plus, le ciel était gris, ce qui doit favoriser cet effet. Le taxi s’arrêta devant l’adresse voulue, le temps de régler le montant de la course, je prévins par sms Andrea de mon arrivée. Le taxi partait et j’étais avec ma valise sur le trottoir devant la porte de l’immeuble. Je cogitais et si c’était un « lapin »… ? Quelques minutes plus tard, elle était là avec son grand sourire, ouvrant la porte. Un bisou, bien plus qu’amical, m’attendait. Elle me fit entrer, prit mes affaires et me guida dans son appartement. La décoration me semblait d’un autre monde, beaucoup d’objets des années 50 et 60 trônaient sur les meubles et étagères. Elle me dit : « As-tu envie de prendre une douche, te reposer ? ». Par l’affirmative, je répondis que, « Effectivement, j’étais un peu fatigué et que je ne devais pas avoir vu un lit depuis une vingtaine d’heures ».

Andrea

Douche prise, en sortant de la salle de bain, elle me montra le lit, et me dit : « Si tu veux… ». Sans avoir à me convaincre plus que ça, je pris place sous les draps. J’avais du mal à contenir mon sommeil, et Andrea, le comprit très vite. Avec le décalage horaire, le voyage, les attentes dans les aéroports, j’avais un peu perdu la notion du temps. Allongé dans le lit, les paupières lourdes, la lumière éteinte je sentis la miss, prendre place à mes côtés. Elle se rapprocha délicatement de moi, pour m’embrasser timidement, puis se blottit contre moi, même fatigué, je la pris dans mes bras en la serrant un peu. Pas besoin de palper pour savoir qu’elle était nue. La fatigue s’estompa en une fraction de seconde. Les bouches se trouvèrent et les baisers s’enchainèrent, prudes pour commencer, mais beaucoup moins académiques pour continuer. Mes mains parcouraient son corps, délicatement et visiblement, elle s’était préparé, intégralement épilée, sa peau était douce soyeuse et légèrement parfumée, ses mains n’étaient pas en reste, elle tenait fermement mon membre et faisait visiblement tout pour qu’il garde sa vigueur. De mon côté, mes doigts agissaient sur son clitoris qui, visiblement, semblait sensible à son traitement. N’en pouvant plus, elle me mit un préservatif et vint me chevaucher, je ne bougeais presque pas, ses hanches rythmait la pénétration, je la regardais dans la pénombre, lui caressant les seins et sa longue chevelure. Parfois, mes doigts pinçaient délicatement ses seins et elle intensifiait sa chevauchée, visiblement elle appréciait ce traitement, de petits gémissements sortaient de sa bouche. Je pris une partie de sa chevelure en main et lui fit comprendre qu’elle devait intensifier ses mouvements de hanches en commençant à synchroniser mes va-et-vient sur les siens. Sans la lâcher des mains, je devinais son visage changé, elle était au bord de l’orgasme. D’un mouvement de hanche plus prononcé de ma part, un cri surgit de sa bouche et elle s’effondra sur moi, le souffle court, un baiser plus tard et je sombrais dans un profond sommeil. Le lendemain matin, mes yeux s’ouvrirent devant le regard souriant d’Andrea, un peu perdu dans mon nouvel environnement, la lumière du jour pénétrait sobrement dans la chambre. « As-tu bien dormi ? » me demanda- t-elle, « Oui, quelle heure est- il ? » lui répondis-je. Elle me donna pour réponse un baiser et continua par me dire : « 10 h, mais si tu veux rester au lit, pas de problème ». Il était temps de me lever pour ne pas continuer de vivre à l’heure européenne. Andrea, se figeât devant moi et me tendit un collier, en me demandant si je savais ce que c’était. Pour la tester, je lui répondis : « Le collier de ton chat ? » puis vu son regard, poursuivit, « Le collier de ton chien ? », elle me répondit en anglais « Si je te parle de soumission ? ». Pour cette visite de New York, je m’attendais à beaucoup de chose, mais pas à ça. Sans paraitre déstabilisé, je lui répondis : « Crois-tu vraiment que je pourrai porter ça ? ». Elle sourit et me répondit : « P* pas toi ! Moi ! Je rêve de ça ! ». Ce à quoi, je répondis : « Explique-moi ». Devant mon petit déjeuner, Andrea commença à m’expliquer les choses, que son mari lui avait demandé d’acheter un collier et quelques autres accessoires, mais qu’hormis le porter ce qui l’excitait, rien ne se passait vraiment et qu’elle de son côté avait pris gout, à ce petit jeu, et cela avait réveillé des envies plus profondes et plus torrides. Sans plus que ça, je lui dis que j’avais déjà un peu pratiqué mais jamais comme soumis. Après l’avoir écouté un certain temps, je lui posais la question fatidique : « Tu veux essayer ? ». Elle me répondit par l’affirmative. Je poursuivis en lui proposant de me le dire franchement et directement, quand elle voulait commencer. Elle me proposa le soir même.

Andrea

Nous passions la journée à visiter Central Park et un Musée naturel attenant, nous dinons dans un petit restaurant et retour à la nuit tombée à l’appartement. La porte franchie, je lui pose la question : « Ce soir, tu veux ? », à quoi elle me répondit positivement. Voilà les consignes : « Tu vas prendre un bain, te préparer, te maquiller, mettre ton collier, sortir tes petits jouets, des foulards installer une serviette sur ton lit et m’appeler quand tout sera fait, en attendant je prévoyais de regarder la télévision qui, dans ce pays, ressemble plus à une série de spots publicitaires entrecoupés par ledit programme. Après une longue attente, j’entendis la voix d’Andrea, elle m’appelait pour débuter la séance. Elle était, nue, debout, à côté de son lit, son collier autour du cou, avec un visage sérieux, elle avait ouvert le tiroir d’une commode et me montra du doigt l’endroit où étaient rangés ses jouets. M’approchant du lit, je dépliai la serviette éponge afin de recouvrir la partie basse du lit. Le silence régnait dans la pièce. Je pris la main d’Andrea pour la guider sur le lit. Agenouillée sur la serviette éponge, je commençais par lui attacher les mains aux pieds du lit avec les foulards mis à ma disposition, puis à l’aide d’un autre, je lui bandais les yeux, toujours dans un silence presque coupable. Je lui donnais le « safeword » en lui expliquant son utilité. Elle était là, sur le lit agenouillé, penchée en avant la tête posée sur le lit presque offerte. Je lui caressais le cou d’une main, et de l’autre caressais le dos jusqu’à ses fesses. Elle fut surprise par la première fessée que je lui donnais, puis une seconde, je lui expliquais qu’elle devait écarter ses cuisses d’office en tant que soumise, ce qu’elle fit immédiatement. Une autre fessée partait immédiatement et je lui dis qu’à chaque fois, elle devait dire « Yes, Sir » à tous mes ordres et remarques, ce à quoi elle répondit : « Yes, Sir ! ». Je lui demandais de se cambrer d’avantage. Je lui ordonnais d’ouvrir sa bouche et de lécher mes doigts, ce qu’elle fit sans aucun problème, puis je revins derrière elle caresser son sexe délicatement. Elle était mouillée, mes doigts glissaient facilement sur et dans ses parties les plus intimes. En regardant son corps, je devinais qu’elle appréciait ce moment, je sortis mes doigts de son sexe et lui demanda si elle aimait, ce à quoi elle me répondit : « Yes, Sir ! ». Je la fis légèrement se relever, pour caresser ses seins, ils étaient lourds et entre mes doigts les tétons étaient durs, entre l’index et le pouce je décidais de les pincer légèrement et simultanément. Un petit cri sortit de sa bouche, puis je me mis à lui caresser de nouveau les reins. Une nouvelle fessée tomba sur son postérieur, et lui dit, « Ne bouges pas, je vais prendre une douche et revenir », ce à quoi, elle répondit par la phrase que je venais de lui apprendre… « Yes ! Sir ! ». En quittant la chambre, je passais devant le tiroir ouvert, qui contenait les « jouets » d’Andrea, hormis quelques godes, des préservatifs, du gel, un objet attira mon regard. Un manche, surmonté d’une boule avec de petit picots, le tout équipé d’une prise électrique : un wand pour les amateurs. Je n’en avais jamais vu devant moi, mais je savais ce que je pouvais faire avec… De retour de la salle de bain, je regardais la demoiselle qui ne semblait pas avoir bougé pendant mon absence, elle savait que j’étais de retour, et se cambra un peu plus. Une légère fessée pour lui confirmer ma présence, claqua. Je pris dans le tiroir les différents objets qui pouvaient m’être utiles pour la suite de la séance. Je lui présentai mon pouce gauche devant sa bouche afin qu’elle le lèche et introduit mon index et majeur de la main droite dans son sexe, le tout en faisant de lents mouvements alternant circulaires et d’avant en arrière. Vu les réactions de son corps, plutôt mesurés, mon pouce de la main droite se posa sur son anus. Je perçus une légère contraction de son corps. De ma main gauche, je pris le tube de gel et en fit couler sur mon pouce droit, puis sur son orifice le plus contracté. Mon index et majeur, reprirent leur place et mon pouce lubrifié se posa à nouveau devant son orifice. Petit à petit, j’augmentais la pression et la première phalange entra tout doucement dans ce terrain vierge. Sans forcer d’avantage, je reprenais doucement les caresses de ma main droite, et imperceptiblement Andrea accompagnait le mouvement. Petit à petit, elle prenait de l’assurance, la surprise passée, son corps accentuait mes mouvements. Des petits râles de plaisirs naissant, se firent entendre et au fur et à mesure, la deuxième phalange de mon pouce droit disparut dans son antre à son tour. Elle venait de découvrir le plaisir de la « pince de crabe ». Je sentais que son plaisir montait rapidement, sa cyprine coulait le long de ses cuisses, entre les mouvements de ma main et ses mouvements de bassin de plus en plus prononcés il n’y avait aucun doute à ce sujet. D’une voix autoritaire je lui donnais l’ordre de ne pas jouir car ce n’était que la première partie de cette petite séance. Pour lui faciliter les choses, mes doigts sortirent de ses orifices. Après un bref passage à la salle de bain, de retour auprès de la miss, je branchai le Wand et le fit fonctionner, juste un interrupteur « on, off » à appuyer. Effectivement, cet appareil devait être redoutable, vu l’amplitude et la fréquence de vibration. Je posai délicatement la tête du Wand au niveau du sexe d’Andrea et le déplaça lentement pour trouver le point le plus sensible. En écoutant ses râles, et en observant son corps, aucun doute j’avais trouvé le placement optimal. Pour amplifier son action de ma main libre je lui « travaillais » les seins, Elle haletait, de plus en plus bruyamment, et lâchait des mots disparates qui traduits, reflétaient parfaitement son état d’esprit du moment. Elle savait qu’elle ne devait pas jouir et ses mouvement de bassin faisaient en sorte de se dégager de l’emprise du Wand. Toute cette scène m’avait un peu excité et je décidai de me lâcher un peu. Le Wand arrêté, un préservatif en place, mon membre entra fermement dans son sexe, mes allers retours lents et appuyés arrachaient des petits cris de plus en plus intenses, je sentais que ma jouissance approchait mais j’avais décidé de changer de pratique. Je sortis mon sexe de son vagin et le plaça devant son antre. Andrea devint immobile et silencieuse et me dit « Sir, no please, please, please ». Je fis semblant de forcer un peu, puis définitivement me retira. Elle n’avait pas prononcé le « Safeword » mais pour une première fois, je ne saurai jamais si c’était un « non » négatif ou un « non » relatif… Je descendis du lit et retirai le foulard ses yeux, le maquillage avait coulé et lui présenta mon membre devant sa bouche. Je retirai le préservatif, détacha ses mains et elle savait ce qu’elle devait faire avec. Quelques minutes plus tard, je me déversais dans sa bouche et sur son visage. Nos esprits retrouvés, elle vint s’allonger, blottie contre moi et nous nous endormions. Toute ma semaine à New York se résumait, à visiter de la ville, des musées, restaurants et à son initiation au plaisir BDSM. Cette semaine fut la dernière passée avec Andrea, car si la complicité était bien présente entre nous, elle voulait un enfant de moi, et de ce côté, j’avais déjà donné et j’étais comblé à niveau.

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